- Le support de grosses volumétries (jusqu'à 100 To par compte Windows Azure)
- Une scalabilité native (utilisation de clé de partitionnement pour répartir les données sur de nombreux serveurs)
- Un modèle de contrôle d'accès riche et efficace (accès public / privé, avec clé permanente / à durée limitée, en lecture / écriture...)
Désormais ceci n'est plus obligatoire car Windows Azure Storage s'enrichit de nouvelles fonctions "Analytics" facilitant l'audit et même plus. Vous pouvez donc choisir d'activer :
- Les Logs : qui sont des traces listant toutes les requêtes exécutées le compte de stockage. Ces traces sont stockées dans un container spécial du compte - nommé $logs - et comportent de nombreux informations : url de la requête, nom du compte, latence serveur, IP source, status HTTP, etc. Ces informations permettent donc à posteriori d'effectuer des analyses sur la nature des requêtes, voire de construire des statistiques.
- Les Metrics : qui sont des mesures concernant les différents types de stockage (Table, Blob, Queue). Les mesures sont stockées dans des tables spéciales - nommées $MetricsXXX - et comportent des informations : sur les requêtes (nombre, latence moyenne, bande passante...) et sur les capacités (espace consommé, nombre d'objets...).
Vous trouverez tous les détails dans la documentation MSDN, et aussi dans ces deux articles sur les Logs et les Metrics.
1 commentaire:
Interessant...
Merci JL pour cette information !!!
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